SUZE fait parti de ces produits que beaucoup connaissent de nom mais pas de goût!
Bon nombre de ces personnes connaissant le goût tireront la langue à la moindre évocation du nom de cette liqueur de gentiane, qui avait les faveurs de nos grands-parents mais qui a du mal à séduire les papilles des « jeunes » consommateurs qui favorisent bien souvent les choses un peu plus sucrée bien que le Spritz, cocktail très en vogue, utilise de l’Apérol, cousin italien éloigné de la SUZE.
Toujours est-il que nous étions conviés pour découvrir SUZE sous de nouvelles facettes et notre palais en demande encore.

C’est l’atypique Cartonnerie dans le 11ème arrondissement de Paris qui accueillait ce bar éphémère et se voyait redécoré du sol au plafond, pour une ambiance chalet de montagne, fondue savoyarde et Jean-Claude Duss en moins!
Mattias Mimoun au piano, virtuose du clavier qui réinterprétait les tubes du moment à la seul force de son instrument.
Sébastien Bouillet, Chef pâtissier et lui aussi virtuose mais du fouet et du cul de poule, présentait le Paris-Lyon, un dessert à base de mousse au chocolat au lait, biscuit chocolat, crème et confit de citron, sablé croustillant, et… SUZE bien sûr.
Mais aussi un chocolat chaud Monbana  avec un soupçon de SUZE, et servi avec un espuma « vanille-citron » sur le dessus, explosion gustative pour ces deux dégustations.

A quelques pas de là se trouvait un drôle de triporteur (mais sans Darry Cowl, petit canaillou va…) qui servait des « SUZE DES MONTAGNES« ,divin mélange de thé chaud à la bergamote, SUZE, cannelle, zestes de citron et d’orange et un quart de gousse de vanille. Délicieux et encore mieux en le customisant avec une pipette supplémentaire de SUZE, n’oublions pas la star de la soirée!
Il se murmure que c’est la mixologiste Sandrine Houdré-Grégoire qui aurait réalisée cette recette miracle.

Vous l’aurez compris, il ne vous reste plus qu’à acheter une bouteille de SUZE pour goûter toutes ces merveilles qui raviront les becs sucrés.