2 nuits, 4 dancefloors, 40 artistes, 30 000 personnes, 24h de fête… Rien que ça !
Vous l’aurez compris, le Peacock Society Festival, c’est du lourd ! Plongée en immersion dans le Parc Floral de Paris.

Ouverture des portes à 20h pour cette première soirée et un line up à en faire pâlir Vincent Cerutti. Je loupe le début de soirée pour cause de Laura Domenge qui faisait l’Olympia, excusez-la du peu…. J’arrive donc pour le début du set live du copain TRAUMER. Première réelle claque, bien que ça soit le jeune âge des festivaliers qui m’aie d’abord marquée. Je rejoins ma troupe d’acolytes, dans une forme olympique. Le meilleur était à venir.

C’est Margaret Dygas qui prend le relais sur TRAUMER. Toujours très bon avec elle, notamment à l’époque où je fréquentais encore CONCRETE, époque Post-TWISTED. Le warehouse est blindé, voir même un peu trop… pas grave, la scène 2 aura nos faveurs vu son line-up.

03h : c’est l’heure du dilemme. Maya Jane Coles sur la scène 2 et un B2B de Steh Troxler & Michael Mayer sur la scène 1. Le choix est vite fait, nous ferons des allers-retours entre les deux scènes. C’est juste orgasmique ! Le son est très bon, ce qui relève le niveau de civisme d’une majorité de festivaliers. Mention spéciale à celui qui a déclenché par 2 fois les alarmes incendies…

05h : deuxième dilemme de la soirée, Loco Dice ou Laurent Garnier. Cette fois-ci, c’est Lolo qui l’emporte. Un set dingue ! Comme d’hab. Il est toujours aussi en forme le bougre. On adore.

Heure indéterminée : J’ai rejoint mes deux drôles de dames, Mélanie et Alizée. Nous contemplons Laurent Garnier, depuis l’espace vip. Nous avons tout donné, il est l’heure de rentrer. Mission Métro et un gros dodo s’impose. Je mettrais la journée du lendemain à me remettre de cette soirée….
Morale de l’histoire : je vieillis…

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Merci à Nicolas pour l’invitation