Le néo-dandy Frédéric Beigbeder est un touche-à-tout. Tantôt écrivain, tantôt réalisateur, il peut même lui arriver de le retrouver derrière les platines. Mais nous sommes ici pour parler de L’Idéal, son dernier film.
Pour planter le décor, je n’ai pas encore lu un seul de ses livres, mais à en lire une de ses biographies, ça donne envie de s’y pencher. Je connais un peu sa carrière de pubard, reconverti en écrivain-mondain , et plus récemment, ses talents de réalisateur. Qu’il a mis a bon escient pour réaliser « L’Amour dure trois ans« , tiré de son roman, du même nom. Film que, personnellement, j’ai adoré. C’est donc avec une joie immense que je me suis rendu à la projection presse. Sans avoir lu le synopsis, histoire d’avoir une vision neutre. Surprise du jour : la belle Mélanie est de la partie.
On retrouve très vite Octave Parango (99 francs), cette fois-ci incarné par Gaspard Proust. Et très vite, ça se complique… Il semble que Frédéric se soit perdu dans ses délires… Malgré quelques bonnes répliques d’Audrey Fleurot ou de Jonathan Lambert, ça manque de rythme, voire même de sens.
Au bout d’1h3o, générique de fin, on se regarde avec Mélanie, et nous sommes très perplexes quant à ce que nous venons de voir. Dommage.
Pour voir la bande-annonce, ça se passe ICI
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