Si comme moi, vous alliez souvent chez Colette, vous avez sûrement flashé sur de beaux vélos chromés. Ils ont la particularité d’avoir une chaîne rouge. Il s’agissait des vélos Martone, une marque co-fondée par l’ex de Marc Jacobs. Et il faut avouer que c’est trop classe de partir à l’assaut de la ville sur un tel destrier. Toutefois, si vous vouliez être un peu plus sobre, j’ai la solution : Rider The Citroënist by Martone. Il s’agit d’une collaboration exclusive développée en co-branding avec Citroën. Car peu de gens le savent, mais la marque aux chevrons a développé toute une gamme Lifestyle. De quoi faire valoir encore un peu plus l’Art de Vivre à la Française. Et comble de l’histoire, la marque m’en a confié un exemplaire pendant quelques heures. Récit d’un périple urbain au guidon de ce bijou monochrome.

Rendez-vous est fixé de bon matin, à proximité des Champs-Élysées. Il ne pleut pas. Puisque j’aime bien les surprises, je ne me suis pas « spoilé » et je n’ai pas cherché d’images de la bête. La surprise sera totale.

Et la moindre des choses, c’est que je n’ai pas été déçu. Design sobre et épuré, quelques détails cools tels que les pédales transparentes et la béquille intégrée. Bref, un look de single speed, mais tout confort. En effet, le Rider The Citroënist dispose de 3 vitesses intégrées dans le moyeu arrière, d’un guidon VTC, et d’une selle moelleuse, mais pas trop.

Après un rapide tour du propriétaire, il est temps d’enfourcher la bête et de partir à l’assaut du bitume parisien. Les premiers coups de pédales sont plutôt très agréables. Le vélo n’est pas lourd, il est très maniable. Un vrai plaisir d’utiliser un tel moyen de locomotion. Puis arrive les premières montées…Changement de vitesse, c’est fluide, ça grimpe en douceur, sans trop forcer. Essayez donc avec un Vélib… #bonchance

Nous arrivons finalement au point de ravitaillement. Dans la musette, une pizza et un Coca-Cola, bien mérités !

Ni une, ni deux, il est temps de ramener le Rider The Citroënist à bon port. Je l’aurais bien ramené chez moi, mais je vais négocier avec le Père-Noël…